au nom de la vérité manipulations en entreprise
Lamanipulation en démocrature. La différence entre une dictature et une démocratie, c’est que la dictature impose ses choix au peuple alors que la démocratie influence et manipule le peuple
Chacund'entre nous s'est déjà retrouvé au moins une fois, au cœur de la tourmente "Au nom de la vérité" s'attache à des héros du quotidien en prise avec une décision capitale. Chaque épisode est une tranche de vie dans laquelle chacun peut s'identifier ou projeter sa propre famille. Ces moments qui dérapent, ces accidents de la vie, ces histoires secrètes
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Au nom de la vérité» est une fiction quotidienne de vingt-six minutes qui s'attache à des héros du quotidien en prise avec une décision capitale. Chaque épisode est une tranche de vie dans laquelle chacun peut s'identifier ou projeter sa propre famille. Ces moments qui dérapent, ces accidents de la vie, ces histoires secrètes qui encombrent notre quotidien
Laculture du mensonge est aux antipodes de la mission de la justice qui est de faire respecter les lois de la République en recherchant la vérité et en s’en tenant à l’objectivité des faits. Tout le monde doit être protégé du mensonge hors des tribunaux comme dans les tribunaux. Les tribunaux ne sont pas des zones de non-droit.
nonton film prison break sub indo lk21. Comme le démontre le traitement médiatique des guerres civiles en Libye et en Côte d’Ivoire envisager connaître la vérité sur la réalité d’un conflit est une entreprise à l’échec presque certain. Petits arrangements ordinaires avec la vérité Dans son journal de 20h du lundi 18 avril 2011minute 13 00 la présentatrice vedette de TF1 Laurence Ferrrari affirmait au détour du lancement d’un sujet sur le conflit en Libye que l’aviation du colonel Kadhafi bombardait les populations civiles à Misrata, la troisième ville la plus peuplée du pays où les insurgés affrontent les forces loyalistes depuis de longues semaines déjà. Pour peu qu’on rapproche ces informations aux déclarations de l’OTAN sur les pertes infligées à l’armée du dictateur, on trouverait aux affirmations de la dame Ferrari des allures de mensonge éhonté. Car même en accueillant avec une extrême méfiance les propos de l’OTAN il s’avère peu probable à cette période de l’intervention occidentale en Libye que les avions de Kadhafi puissent continuer de survoler impunément le ciel libyen pour massacrer les populations civiles. Ce n’est hélas qu’une approximation de plus discréditant toujours plus les médias de référence en ces temps où la guerre civile en Côte d’Ivoire et celle encore en vigueur en Libye offre un spectacle décourageant pour quiconque désire comprendre les tenants et aboutissants de ces conflits en tirant profit de la pluralité des informations disponibles à ce sujet. La quête de la vérité s’apparente même à un chemin semé d’embûches, de leurres où ceux-là même qui sont tenus d’informer le public en portant à sa connaissance les éléments permettant de comprendre une situation complexe, ne font que se livrer à de petits arrangements avec la vérité au gré des intérêts du pouvoir. Des procédés éculés d’une redoutable efficacité Face à ce qui peut être considéré comme de grossières opérations de manipulation de l’opinion publique, il n’est toutefois pas permis de crier à l’imposture car ces méthodes, pratiquement les mêmes à l’occasion de chaque conflit armé où le pouvoir est engagé comme c’est le cas pour la France en Libye et en Côte d’Ivoire, sont si bien connues et constamment dénoncées qu’il est étonnant qu’elles soient toujours d’une effroyable efficacité. De ces manipulations-là l’opinion publique semble même en être friande car la vérité dénaturée, simplifiée à l’extrême et présentée au peuple comme une série d’évidences lui paraît toujours préférable sous cette forme car elle flatte son intelligence. La profusion de nouvelles technologies et donc de sources variées au service de l’information n’aide en rien à diminuer la crédulité des citoyens au contraire, plus grossière sera une manipulation d’un media dominant plus elle s’avèrera redoutable à un point qu’il semble vain et illusoire de s’entêter à vouloir connaître la vérité en temps de guerre. Le citoyen n’a donc d’autre choix que de se résigner et de contempler la machine implacable faire inexorablement son œuvre. Le scénario de l’imminence d’un effroyable péril Tel est le scénario livré aux citoyens crédules que nous sommes chaque fois que le pouvoir veut faire avaliser une décision qu’il sait contraire au droit et aux valeurs qu’hypocritement il prétend incarner. Le déclenchement de la campagne de bombardements de la Libye sous l’impulsion du président Sarkozy et celui toujours obscur de la résidence de Laurent Gbagbo en Côte d’Ivoire ou encore l’envoi officiel de commandos en appui des insurgés libyens sont autant de versions de ce scénario maintes fois répété, prévisible mais imparable. Au moment où les forces armées françaises bombardèrent les premières l’armée libyenne pour selon les autorités se conformer à la résolution 1973 de l’ONU adoptée précipitamment la veille et enjoignant les puissances occidentales à protéger par tous les moyens nécessaires les populations civiles, un remarquable travail consistant à présenter comme une évidence l’imminence d’un terrible massacre des populations de Benghazi avait déjà préparé l’opinion publique à accepter cette entrée en guerre de la France. Le travail avait été si bien fait que nombreux sont ceux qui y ont même trouvé le motif de fierté d’une grandeur retrouvée de la patrie des droits de l’homme sous la houlette de son dirigeant à la côte de popularité chancelante. La dramatique situation en Côte d’Ivoire fut de nouveau l’occasion pour la classe politico-médiatique de montrer à quel point elle excellait dans cet exercice particulier consistant à convaincre de l’imminence du péril. Laurent Gbagbo que les mêmes médias présentaient comme acculé dans son bunker avec une poignée d’irréductibles au point que la presse quotidienne française c’était même hasardé à annoncer sa chute, est du jour au lendemain passé de la reddition certaine à une offensive impitoyable. L’on annonça alors l’avancée inexorable de ses troupes aidées d’une artillerie lourde dont étaient dépourvues les forces pro-Ouattara. On titra sur les premières frappes de l’hôtel du golf, siège du président reconnu par la communauté internationale et de son gouvernement malgré la protection de l’ONUCI dont bénéficiaient ces derniers. Depuis son bunker donc, le stratège Gbagbo conduisait ses troupes vers son ennemi dont la débâcle était devenue inéluctable. Devant l’imminence de ce péril-là aussi une résolution de l’ONU précipitamment adoptée fit encore l’affaire et justifia le bombardement de la résidence de Gbagbo par les forces armées françaises. L’opinion publique fut soulagée d’apprendre que les populations civiles étaient enfin protégées grâce à la courageuse décision de ses autorités et contrairement à ce que pouvaient laisser entendre les évènements de Doukoué. Mirasta n’y échappe pas non plus Le citoyen crédule a beau identifier ces enchaînements soudains d’informations inquiétantes annonçant l’imminence d’un péril, il a beau savoir qu’il vit dans un système politique où le pouvoir lui appartient en théorie, c’est quotidiennement qu’il constate qu’il n’a aucune prise sur les décisions prises par le pouvoir en son nom. Il sait d’ailleurs que les intérêts liant le pouvoir aux medias sont tels que l’information qui lui est livrée en temps de guerre n’est là que pour le préparer à accepter des décisions radicales du pouvoir. S’il n’est pas d’accord, qu’importe, un bon sondage achèvera de le convaincre du caractère marginal de ses convictions. C’est cette implacable logique que semblent suivre les autorités lorsqu’elles décident de l’envoi des groupes d’officiers de liaison pour conseiller » les insurgés libyens en apparente violation de la résolution de l’ONU devenue insuffisante pour renverser le dictateur. Là encore cette décision a été précédée d’un minutieux travail de préparation de l’opinion publique par les médias de référence. L’agonie soudaine et devenue insupportable de Misrata focalisa toute l’attention médiatique. Il y a pourtant longtemps que la population de cette ville résiste courageusement aux assauts des forces loyalistes et ses martyrs montrant même ce qui se serait probablement passé à Benghazi. Il est certes juste de s’indigner des morts toujours inutiles d’une guerre mais la dramatisation excessive à laquelle se livraient les médias n’avait non pas pour but de montrer à quel point la paix est toujours préférable à la guerre et ses atrocités, mais de justifier l’enlisement du conflit et de préparer l’opinion à accepter la nouvelle stratégie du pouvoir l’envoi de troupes. Face à ce déluge d’informations contradictoires, parvenir en ces temps de guerre à distinguer dans les medias ce qui relève de la propagande de ce qui relève de l’information véritable dans l’optique de connaître la vérité s’avère être une douce utopie. L’inéluctable rôle d’agent de la propagande Dans les récits faits de ces conflits, il n’est pas surprenant que le terme propagande soit régulièrement employé par les journalistes et exclusivement réservé aux adversaires du pouvoir dont ils discréditent les informations. Il est à regretter cependant que l’habileté que ces professionnels de l’information mettent à démanteler la rhétorique des adversaires du pouvoir et à susciter l’extrême méfiance de l’opinion à leur égard disparaisse soudainement lorsqu’il s’agit d’étayer les thèses du pouvoir afin qu’elles gagnent l’adhésion de l’opinion. Les medias font par ce biais la preuve qu’il leur est extrêmement difficile de jouer un rôle autre que celui d’agent-double de la propagande celle qu’ils dénoncent chez les adversaires du pouvoir et celle issue du pouvoir qu’ils promeuvent allégrement sans jamais la mentionner. Dans le cas de la guerre en Libye par exemple, la capacité à mettre en doute les marqueurs temporels des vidéos de Kadhafi, la véracité des images que diffuse le pouvoir libyen tout comme la remise en cause systématique de la réalité des chiffres annoncés sur le nombre de victimes des bombardements alliés contraste avec l’absence de réserve concernant les informations diffusées fournies par les rebelles, par l’OTAN ou les autorités françaises. Tout ce travail bien que partial serait à saluer si au même moment ces mêmes medias ne s’évertuaient pas à entretenir constamment l’impression qu’ils sont au détriment de l’opinion publique une pièce essentielle de la stratégie de communication du pouvoir et ses alliés dans la guerre de l’information qu’il livre à ses adversaires. Le journaliste, un allié peu fiable dans la quête de la vérité Il est pour cette raison inconcevable d’attendre des journalistes une quelconque équité dans le traitement des informations concernant les protagonistes de ces conflits et attendre d’eux qu’ils confrontent systématiquement les différentes versions d’un fait majeur est illusoire. Il faut reconnaître que ces exigences sont beaucoup trop élevées pour une profession qui doit livrer l’information qui convient » à l’opinion tout en ménageant ses sources de financement dont le pouvoir. Il est toutefois navrant de voir que les journalistes prennent systématiquement le parti du discrédit méticuleux de leur profession en se livrant à ces acrobaties qui consistent à taire les manipulations de l’opinion par le pouvoir et à rendre extrêmement floue la frontière entre ce qui relève de l’analyse d’une problématique et ce qui n’est qu’une vulgaire propagande au service des puissants. Accepter de s’informer auprès des medias de référence revient à se livrer à l’acquisition de kits de prêt à penser » à l’usage de tous ceux qui veulent s’exonérer de toute réflexion critique. Des kits tout aussi indispensables à celui qui prétend vouloir connaître la vérité sur les tragiques évènements dont le monde entier est témoin. Dans cette quête de la vérité le journaliste est un allié d’autant peu fiable qu’il aime à être parfois embarqué », sur le champ de bataille avec l’un des belligérants, dans les coulisses du pouvoir pour y recueillir les meilleures confidences et autres indiscrétions qui donnent de la crédibilité à son propos. La multiplication ces dernières années des sources d’information aurait pu paraître comme un gage de succès dans la recherche de la vérité. Malheureusement le rôle joué par les chaînes d’information en continue et les agrégateurs des sites d’actualité, loin d’offrir une réelle diversité des sources et des points de vue, agissent de manière encore plus pernicieuse en amplifiant les messages des medias de référence alimentés eux par les agences de presse officielles. Il s’en trouve que le message est martelé à l’infini jusqu’à satiété et jusqu’à ce qu’il soit nécessaire au citoyen de fournir des efforts considérables pour douter d’une information unanimement présentée comme une vérité. Ces médias créent ainsi l’illusion d’une pluralité d’opinions concordantes qui égarent plus que n’informent. L’interprétabilité des résolutions onusiennes rend la vérité tout aussi confuse Il y a pourtant dans les médias une présence massive d’intellectuels et d’experts censés avoir analysé et digéré la complexité des problèmes sous-jacents aux conflits pour livrer aux opinions des avis éclairés lui permettant de comprendre la situation, de s’approcher de la vérité et de se forger des convictions. Cette présence est d’autant plus nécessaire que lorsqu’une situation échappe à l’entendement le besoin d’arguments qui font autorité se fait sentir et en cela l’intellectuel, l’expert est un allié du journaliste. Or on constate que ces experts mettent un point d’honneur à ne rien dire qui aille à l’encontre de la politique éditoriale du media qui régulièrement leur offrent des tribunes pour s’exprimer et à atteindre les masses. Lorsque la manipulation devient trop évidente l’expert se borne à sanctifier ce qui peut être assimilé à un prêche journalistique au lieu d’apporter la contradiction. En Libye comme en Côte d’Ivoire la vérité devra un jour parvenir aux peuples sous des formes assez intelligibles pour rendre possible la réconciliation. Une institution entièrement vouée au maintien de la paix entre les peuples aurait pu être l’allié le plus fiable pour faciliter ces réconciliations. Or le rôle joué par l’ONU dans ces conflits notamment ses accommodements avec les diktats des puissances occidentales sont tels qu’elle ne peut plus y paraître comme un juge impartial. Au contraire l’ONU semble même parfois haïr son rôle de garant de la paix dans le monde pour lui préférer celui d’instrument de la domination des puissances occidentales sur le reste du monde. Les termes des résolutions qu’elle émet sont systématiquement si obscurs qu’elles se conforment à toutes les interprétations que peuvent en faire les chancelleries occidentales. Cette mascarade ne sert ni la paix, ni la vérité et encore moins la confiance que les peuples doivent avoir en cette vénérable institution. Le désir de savoir, de comprendre en s’informant ne pouvant être refréné, vouloir connaître la vérité sur la réalité d’un conflit armé est une entreprise comparable à la reconstitution d’un puzzle dont on est sûr de ne disposer que d’un minimum de pièces. La quête de la vérité n’est alors que l’art de s’accommoder des mensonges provenant des différents acteurs des conflits. NomeFam Aussi sur mon blog
Le 27 avril dernier, le gouvernement américain annonçait la création du DGB Disinformation Governance Board, un organe consultatif rattaché au département de la Sécurité intérieure des États-Unis dont la fonction était de lutter contre les campagnes de désinformation menées depuis l’étranger ou sur le territoire national et qui menaceraient la sécurité de l’État américain. Mise en pause après moins d’un mois d’activité, cette nouvelle agence d’État illustre la tentation de la surveillance généralisée qui séduit de plus en plus les gouvernements occidentaux. Une tentative échouée mais quid des prochaines ? La gauche démocrate américaine, traumatisée par la victoire de Donald Trump en 2016, a rapidement mis en place un discours médiatique virulent expliquant la défaite de la candidate démocrate Hillary Clinton pressentie pour remporter le scrutin par une campagne secrète de déstabilisation orchestrée par Vladimir Poutine. Si cette théorie du complot politiquement correcte et mainstream n’occupe plus les unes de la presse américaine, elle a annoncé un nouveau chapitre dans la gouvernance menée par la gauche mondialisée. Au nom de la sécurité intérieure, il devenait ainsi justifié et nécessaire, selon les promoteurs de cette vision du monde, de mettre en place des mécanismes étatiques de surveillance des discours politiques, afin de préserver la liberté des citoyens. Dès son annonce, la DGB a rencontré une opposition quasi-unanime de la part des républicains, mais également d’une partie de la gauche libertaire minoritaire et des libertariens. Ceux-ci avaient correctement identifié que la création d’un organe étatique au fonctionnement opaque, rattaché au département de la Sécurité intérieure créé à la suite du 11 septembre 2001 était une tentative caractérisée de museler la liberté d’expression sous prétexte de protéger celle-ci. Le 18 mai dernier, le gouvernement a annoncé que la DGB serait mise en pause, en même temps que la démission de sa directrice, Nina Jankowicz, militante anti-Trump radicale. Auparavant, il était entendu que le rôle de contrôleurs de l’information revenait aux réseaux sociaux Twitter, Facebook, qui faisaient office de sous-traitants zélés de la discipline médiatique à faire appliquer. Se sentant menacée par l’opposition, le gouvernement gérontocratique de Joe Biden a décidé de passer à la vitesse supérieure en confiant cette tâche à un département de l’État. Le centre-gauche, ou le crépuscule des libertés publiques L’exemple américain n’est pas isolé, et manifeste la tentation des gouvernements d’Occident de centre-gauche de procéder à des tentatives similaires. Lors du mouvement social canadien du Freedom Convoy convoi de la liberté », le premier ministre Justin Trudeau avait annoncé le recours à la loi sur les mesures d’urgence pour entre autres geler les comptes bancaires des personnes ou des entreprises qui auraient participé ou soutenu le convoi[1]. L’Allemagne, en 2017, avait instauré le Netzwerkdurchsetzungsgesetz, une loi forçant les réseaux sociaux à retirer les contenus jugés haineux, sous peine d’une amende de 50 millions d’Euros. En France, le gouvernement Macron avait mis en place en 2018 la loi anti-fake news », permettant à un juge d’ordonner la dépublication d’un contenu jugé dangereux pour la sincérité d’un scrutin à venir. La loi permet également au CSA de suspendre la diffusion des chaînes de télévision étrangères ou sous influence étrangère qui publierait de fausses informations en connaissance de cause[2]. Les motivations qui animent une telle loi sont tout à fait transparentes garantir un monopole de l’information par les publications proches du pouvoir, qu’elles le soient par les liens de copinage ou par les subventions massives accordées régulièrement à la presse française publique ou privée. Il est bien entendu impensable que les campagnes de dénigrement, menées ou relayées par les grands médias français, fassent quant à elles l’objet d’une quelconque répression. Malgré tous les discours lénifiants sur la démocratie libérale ou la France comme patrie des droits de l’Homme », les sociétés de l’Occident font en direct l’expérience du glissement de leurs gouvernements vers une forme d’autoritarisme des bons sentiments, qui mêle une surveillance infantilisante et liberticide avec une forme d’impuissance politique, exceptionnellement mobilisée pour réprimer durement toute contestation radicale de l’ordre existant. La phase historique actuelle est celle de la calcification du mondialisme et de la défense acharnée du statuquo par ses partisans. La séquence est la même partout mise en place de lois restreignant la liberté d’expression au nom de la lutte contre les discriminations loi Pleven de 1973, cadre législatif encadrant la publication de contenus sur les réseaux sociaux, mesures d’exclusions de médias étrangers RT France et mise en place d’organismes d’État veillant à la non-diffusion de désinformation. La seule surprise que les Français ont à attendre de la part de Macron, c’est la forme que prendra la prochaine étape de cet itinéraire. [1] [2] Clément Martin Texte repris du site de Les Identitaires
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Un dépassement massif des limites. John Penrose, législateur du Parti conservateur britannique, a proposé un ajout au projet de loi controversé sur la censure d’Internet au Royaume-Uni, baptisé The Online Safety Bill », qui devient de plus en plus orwellien à chaque nouvel amendement proposé. Comme s’il sortait d’une fiction dystopique, M. Penrose, député de Weston-super-Mare, a proposé que le gouvernement oblige les plateformes en ligne à tenir à jour un score de la véracité d’une personne, déterminé par ses déclarations passées. Voir les amendements proposés ici. L’objectif de cette section est de réduire le risque de préjudice pour les utilisateurs de services réglementés causé par sic la désinformation ou la mésinformation », indique la proposition, avec une coquille qui montre à quel point le soin apporté à la formulation d’une législation qui anéantit les libertés des citoyens est important. La proposition prévoit que chaque utilisateur qui produit du contenu en ligne, y compris des commentaires et des critiques », et qui reçoit un certain nombre de vues en ligne, qui doit être déterminé par le régulateur britannique des communications, devrait voir son contenu indexé et se voir attribuer un score de vérité. Le discours de cette personne doit ensuite être affiché de manière à permettre à tout utilisateur de se faire facilement une opinion éclairée sur l’exactitude factuelle probable du contenu au moment même où il le rencontre ». Au cours des deux dernières années, la vitesse à laquelle l’idée de s’attaquer à la désinformation » a été utilisée comme un outil pour censurer et supprimer la parole a été alarmante, et l’idée que les régulateurs suppriment la parole des citoyens s’est normalisée. Le Royaume-Uni propose également une nouvelle législation qui obligera les entreprises de médias sociaux à s’attaquer à la désinformation par des adversaires étrangers comme la Russie. En faisant cette annonce, la secrétaire d’État au numérique, Nadine Dorries, a déclaré que l’invasion russe en cours en Ukraine a prouvé comment la Russie utilise les médias sociaux pour diffuser des mensonges. Nous ne pouvons pas permettre à des États étrangers ou à leurs marionnettes d’utiliser l’internet pour mener sans entrave une guerre en ligne hostile », a-t-elle déclaré. C’est pourquoi nous renforçons nos nouvelles protections en matière de sécurité sur Internet afin de garantir que les entreprises de médias sociaux identifient et éliminent la désinformation soutenue par les États. » La loi, qui devrait être adoptée au cours de la session parlementaire actuelle, sera un amendement au projet de loi sur la sécurité en ligne et au projet de loi sur la sécurité nationale. Elle obligera l’Ofcom, l’organisme de réglementation des médias, à créer des codes de pratique pour s’assurer que les plateformes de médias sociaux s’y conforment et à infliger des amendes en cas de non-respect. Source Traduction
InfosDiffusionsCastingRésuméChacun d'entre nous s'est déjà retrouvé au moins une fois, au coeur de la tourmente... Au nom de la vérité» est une fiction quotidienne de vingt-six minutes qui s'attache à des héros du quotidien en prise avec une décision capitale. Chaque épisode est une tranche de vie dans laquelle chacun peut s'identifier ou projeter sa propre famille. Ces moments qui dérapent, ces accidents de la vie, ces histoires secrètes qui encombrent notre quotidien...GenreSérie - Comédie socialeAnnée de sortie2014AvecHenri De LabbeyInfos supplémentaires—Avis des internautes 1Vous avez aimé ce programme ?
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